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LE PROJET NOOSPHERE
Notre Terre porte la Vie,
la Vie porte l’Humanité,
l’Humanité porte l’esprit de la Terre,
la Noosphère.
la Vie porte l’Humanité,
l’Humanité porte l’esprit de la Terre,
la Noosphère.
Qu’est-ce que la Noosphère ?
Ce néologisme est dérivé des mots grecs νοῦς (noüs,
« l’Esprit ») et σφαῖρα (sphaira, « sphère »).
La Noosphère est donc la sphère de l’Esprit, ou encore la
« couche » terrestre de toutes les consciences humaines connectées.
La Noosphère est apparue avec l’homme, et elle n’a pas
cessé de se développer depuis les origines de l’Humanité.
Au début, la Noosphère était embryonnaire, aujourd’hui
elle s’étend à toute la Terre et se densifie de plus en plus. Elle s'étoffe si je puis dire, et gagne en force.
L’objectif du projet Noosphère est de faire croître cette
sphère de l’Esprit et de faire prendre conscience aux hommes de notre époque
qu’ils y sont naturellement intégrés et connectés.
Chacun d'entre nous doit prendre conscience de l’existence de la Noosphère pour y trouver sa
place et se connecter aux autres par le canal de sa conscience.
Problèmes globaux, réponses globales.
Une conscience globale testée par la science.
Un très bon article de Jocelin Morisson, journaliste scientifique, publié dans la revue l'Inexploré :
lien vers l'article :
Une conscience globale testée par la science.
Première étape (le matin à 9h) :
- Envoyer à 100 personnes désireuses de participer au protocole une liste de 20 noms de lieux répartis sur tout le territoire français.
- Ces lieux sont connus pour avoir un sens religieux ou « mystique » et ils sont chargés d’émotions. Exemples : le Mont-Saint-Michel, Notre Dame de Paris, la place de la Bastille, etc.
- Le matin à 9h, deux personnes appelées « guides », choisissent deux lieux qui figurent dans la liste des 20 noms.
- Ils utilisent le moteur de recherche de Google Earth et « vont » sur les deux lieux virtuellement : de la Terre vers les deux lieux choisis. Comme ceci :
- Seuls les deux « guides » connaissent les deux lieux choisis. Les deux « guides » ne sont pas connus des autres participants au protocole.
Deuxième étape (le soir à 21h) :
- A 21h très précisément, les 100 participants choisissent deux lieux qui figurent sur la liste des 20 noms envoyée le matin.
- A 21h, les 100 participants utilisent le moteur de recherche de Google Earth et « vont » sur les deux lieux virtuellement : de la Terre vers les deux lieux choisis. Comme ceci :
- Les deux « guides » et les 100 participants nous envoient les noms des deux lieux choisis.
- Dépouillement statistique des résultats.
Si les deux noms choisis par les 100 participants recoupent de façon significative les deux noms choisis par les deux « guides », l'expérience peut être considérée comme concluante.
Questions/réponses.
Réponse :
Merci pour ta réponse concernant le projet Noosphère.
Notre planète, c’est-à-dire l’ensemble de notre globe terrestre, est organisée selon une structure en domaines, zones, « couches » ou « sphères », qui sont superposées les unes au-dessus des autres. Ces couches partent du centre de la Terre, comme l’indique la figure numéro 1 ci-dessous, et elles s’élèvent au-dessus de la surface du globe jusque dans la haute atmosphère (figure numéro 2).
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CIVILISATION PLANETAIRE
Dans cet essai très dense et visionnaire, Daniel Robin estime que nous approchons du point critique où nous allons accéder à une civilisation planétaire de Type I. Le passage du Type 0 (zéro) au Type I de civilisation ne se fera pas sans crise, sans douleur, et sans une remise en cause radicale de notre modèle actuel de société.
Problèmes globaux, réponses globales.
Il est facile de constater
que, de plus en plus, surgissent des problèmes globaux qui touchent la Terre
entière et toute l’Humanité. La crise sanitaire de la maladie COVID-19 en est un exemple significatif qui illustre parfaitement ce concept de crise globale à laquelle doit être apportée une solution globale impliquant toutes les nations de la Terre. Une seule nation ou même un seul continent ne pourra venir à bout de cette pandémie. La collaboration internationale est une nécessité impérieuse.
L'autre exemple qui vient immédiatement à l'esprit est celui du réchauffement climatique qui est aussi un problème global qui ne pourra être résolu que lorsque toutes les nations décideront de mettre en place des mesures pour y faire face.
Nous ne pouvons plus croire que nous résoudrons les crises globales chacun dans notre coin. Une coopération au niveau planétaire s'impose désormais.
Cette coopération planétaire suppose une prise de conscience de notre appartenance à la planète Terre et pas seulement à un pays ou à une région particulière.
C'est le sens du projet Noosphère : faire prendre conscience au plus grand nombre possible d'êtres humains qu'ils sont citoyens du monde et qu'ils doivent élargir leur conscience à ce niveau.
Je crois que l'ère des nations et des pays s'achève.
La prochaine étape du développement de la civilisation humaine est celle d'une civilisation planétaire. Ce n'est qu'avec l'émergence d'une civilisation planétaire que nous pourrons espérer sortir des crises qui menacent notre survie.
Une conscience globale testée par la science.
Un très bon article de Jocelin Morisson, journaliste scientifique, publié dans la revue l'Inexploré :
lien vers l'article :
Une conscience globale testée par la science.
The Global
Consciousness Project
Lien vers le site officiel :
LE PROJET DE CONSCIENCE GLOBALE SITE OFFICIEL
Lien vers le site officiel :
LE PROJET DE CONSCIENCE GLOBALE SITE OFFICIEL
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Projet protocole Noosphère.
Principes :
- Le concept de Noosphère suppose une sorte de
« connexion » entre les psychismes et les consciences humaines.
- La « connexion » est globale et planétaire. Elle concerne tous les êtres humains conscients de cette planète.
- Le type de « connexion » que nous cherchons à
mettre en évidence est généralement inconsciente chez la plupart des êtres
humains.
- La « connexion » est globale et planétaire. Elle concerne tous les êtres humains conscients de cette planète.
- Cette
« connexion » est instantanée. Elle est théoriquement située en dehors des
contraintes de l’espace/temps.
- Exemple de ce type de « connexion » : les « Panseurs de Secret » ou coupeurs de feu, leveurs de verrues, de zona, d’eczéma, etc. qui agissent à distance avec un objectif de guérison. Le processus de guérison suppose une connexion psychique instantanée, et porteuse d'informations, entre le guérisseur et le malade.
- Exemple de ce type de « connexion » : les « Panseurs de Secret » ou coupeurs de feu, leveurs de verrues, de zona, d’eczéma, etc. qui agissent à distance avec un objectif de guérison. Le processus de guérison suppose une connexion psychique instantanée, et porteuse d'informations, entre le guérisseur et le malade.
- L’idée est de mettre en
place un protocole simple, accessible à tous, qui ne nécessite pas de
compétence particulière pour être utilisé, et qui n’engage aucun investissement
financier.
- Utilisation de Google Earth comme outil ou support de « connexion ».
- L'utilisation de Google Earth permet à la fois une connexion numérique à la cybersphère, et une « connexion » psychique et consciente à la Noosphère. C'est ce que j'appelle le principe de double connexion.
- Le protocole décrit ci-dessous implique la participation de 100 personnes pour commencer. Je pense qu'il peut se produire au fil du temps et avec la réalisation du protocole de nombreuses fois, une sorte de phénomène d'apprentissage qui pourrait améliorer de façon significative le score final. Avec 1000 personnes une sorte d'égrégore pourrait commencer à se former. Au-delà de 10 000 personnes les résultats pourraient être spectaculaires.
- Utilisation de Google Earth comme outil ou support de « connexion ».
- L'utilisation de Google Earth permet à la fois une connexion numérique à la cybersphère, et une « connexion » psychique et consciente à la Noosphère. C'est ce que j'appelle le principe de double connexion.
- Le protocole décrit ci-dessous implique la participation de 100 personnes pour commencer. Je pense qu'il peut se produire au fil du temps et avec la réalisation du protocole de nombreuses fois, une sorte de phénomène d'apprentissage qui pourrait améliorer de façon significative le score final. Avec 1000 personnes une sorte d'égrégore pourrait commencer à se former. Au-delà de 10 000 personnes les résultats pourraient être spectaculaires.
Ci-dessus :
L’utilisation de Google Earth permet une double « connexion ». D’une
part, une connexion numérique à la cybersphère, et d’autre part une « connexion »
psychique et consciente à la Noosphère. L'idée est que la première connexion facilite le passage à la seconde « connexion ».
Présentation générale du protocole Noosphère.
- Le protocole se déroule en
deux phases ou en deux temps, et il s’étale sur deux « points » précis dans une journée (le
matin à 9h et le soir à 21h).
- Il y a 12h entre les deux phases.
- Le mieux est de réaliser le protocole un dimanche ou un jour de repos.
- Il y a 12h entre les deux phases.
- Le mieux est de réaliser le protocole un dimanche ou un jour de repos.
Première étape (le matin à 9h) :
- Envoyer à 100 personnes désireuses de participer au protocole une liste de 20 noms de lieux répartis sur tout le territoire français.
- Ces lieux sont connus pour avoir un sens religieux ou « mystique » et ils sont chargés d’émotions. Exemples : le Mont-Saint-Michel, Notre Dame de Paris, la place de la Bastille, etc.
- Le matin à 9h, deux personnes appelées « guides », choisissent deux lieux qui figurent dans la liste des 20 noms.
- Ils utilisent le moteur de recherche de Google Earth et « vont » sur les deux lieux virtuellement : de la Terre vers les deux lieux choisis. Comme ceci :
- Seuls les deux « guides » connaissent les deux lieux choisis. Les deux « guides » ne sont pas connus des autres participants au protocole.
Deuxième étape (le soir à 21h) :
- A 21h très précisément, les 100 participants choisissent deux lieux qui figurent sur la liste des 20 noms envoyée le matin.
- A 21h, les 100 participants utilisent le moteur de recherche de Google Earth et « vont » sur les deux lieux virtuellement : de la Terre vers les deux lieux choisis. Comme ceci :
- En même temps que les 100
participants, les deux « guides » « vont » sur ces deux
lieux virtuellement : de la Terre vers les lieux choisis.
- Les deux « guides » et les 100 participants nous envoient les noms des deux lieux choisis.
- Dépouillement statistique des résultats.
Si les deux noms choisis par les 100 participants recoupent de façon significative les deux noms choisis par les deux « guides », l'expérience peut être considérée comme concluante.
Le protocole doit être
effectué plusieurs fois (3 ou 5 dimanches de suite par exemple).
Questions/réponses.
Nicolas Dumont :
Merci pour cette belle initiative. Prouver la noosphère est un
grand défi expérimental. N'étant pas expert en méthodo-expérimentale, je
préfère m'abstenir d'un avis. Il faut surtout bien regarder les
facteurs à contrôler pour éviter les effets de pré-cognition ou de
télépathie entre les membres du collectif qui va expérimenter et former
un champ de conscience commun.
Bien à toi,
NicolasRéponse :
Merci pour ta réponse concernant le projet Noosphère.
Tu as raison, il faut veiller à distinguer les effets provenant d'autres types d'interactions psychiques.
Cependant,
en ce qui concerne la Noosphère le projet part du principe que toutes
les consciences humaines sont de même nature et sont constituées de la
même " réalité fondamentale " ou de la même " substance "
si je puis dire.
Ceci implique selon moi, que les phénomènes
de télépathie ou de pré-cognition individuels ne sont en définitive
que des sous-produits d'un phénomène de connexion
télépathique global entre les humains.
Si 100, 1000 ou 10 000
individus sont liés télépathiquement cela signifie en définitive qu'ils partagent une
même " réalité " qui peut être désignée comme étant la Noosphère.
Bien à toi
Daniel.
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Notre planète, c’est-à-dire l’ensemble de notre globe terrestre, est organisée selon une structure en domaines, zones, « couches » ou « sphères », qui sont superposées les unes au-dessus des autres. Ces couches partent du centre de la Terre, comme l’indique la figure numéro 1 ci-dessous, et elles s’élèvent au-dessus de la surface du globe jusque dans la haute atmosphère (figure numéro 2).
Ci-dessus : figure numéro 1. Cette
illustration montre les différentes « couches » qui forment notre planète,
depuis son centre jusqu’à surface.
Ci-dessus :
figure numéro 2. Cette illustration montre les différentes
« couches » qui forment l’atmosphère de notre planète, depuis sa
surface jusqu’à la haute atmosphère.
Ci-dessus : figure
numéro 3. Les six couches principales formant la surface de notre globe : la
lithosphère (« socle de pierre »), la phytosphère (sphère des végétaux), la
zoosphère (sphère des animaux), la sociosphère (sphère des sociétés humaines),
l’infosphère (sphère de l’information qui englobe la cybersphère), et enfin la
Noosphère (sphère de la pensée et de l’Esprit). Ces couches forment une sorte
d’escalier qui monte, des structures les plus simples et les plus primitives
(dans le sens de premier), vers les structures les plus complexes, les plus
fines, et aussi les plus fragiles. (Illustration : Daniel Robin).
Ci-dessus : figure numéro 4. De la biosphère à la
cybersphère. Pour que la cybersphère (qui se trouve dans notre schéma au sommet
de l’« escalier ») puisse apparaître sur notre planète, il a fallu
que se développent toutes les sphères sous-jacentes : la biosphère, la
sociosphère, la technosphère et l’infosphère. La biosphère est la base
biologique sur laquelle repose l’ensemble de l’édifice. Sans elle, aucune des
sphères supérieures ne pourrait exister et n’aurait pas pu émerger. D’où la
prise de conscience de l’impérieuse nécessité de préserver l’intégrité de notre
biosphère contre les menaces de la civilisation industrielle moderne qui pille
littéralement ce socle de vie. La biosphère comprend la phytosphère,
c’est-à-dire la totalité du monde végétal (plantes, arbres, végétaux divers) et
la zoosphère, soit l’ensemble du monde animal. L’Homme représente comme une
excroissance spécifique de la zoosphère, mais il s’en dégage néanmoins par sa
capacité à créer la culture et la civilisation. Culture et civilisation ne sont
possibles que dans la mesure où l’être humain est un animal social,
c’est-à-dire un être capable de créer des sociétés organisées. L’homme est donc
l’artisan de la sociosphère, qui est la sphère de toutes les sociétés humaines
existantes. Au-dessus de la sociosphère, nous trouvons la technosphère qui est
une émanation de cette couche inférieure. La technosphère est l’ensemble des
sciences, des techniques et des arts créés par toutes les sociétés humaines. Le
symbole de la technosphère est la machine (ou l’ordinateur) qui occupe une
place centrale dans nos sociétés modernes. Au-dessus de la technosphère - et
issue d’elle - nous trouvons l’infosphère qui est constituée par la totalité
des informations créées, mémorisées et utilisées par la sociosphère et la
technosphère réunies. Dans notre schéma, la cybersphère n’est qu’une
excroissance supérieure de l’infosphère. Aujourd’hui, la cybersphère tend à
dominer les autres secteurs de l’infosphère. Elle connaît un développement
prodigieux (incontrôlé même) dont l’horizon futur reste indéfini. En d’autres
termes, nous ne savons pas sur quoi le développement de la cybersphère va
déboucher. Verrons nous surgir au-dessus d’elle une nouvelle couche dont la
nature et les caractéristiques nous échappent complètement pour le moment ?
C’est une possibilité qui n’est pas à écarter (Illustration : Daniel Robin).
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CIVILISATION PLANETAIRE
Le Projet Humain Global
Sommes-nous sur
le point d’accéder à une civilisation globale de Type I, c'est-à-dire de créer
une civilisation planétaire sur notre planète ?
Dans cet essai très dense et visionnaire, Daniel Robin estime que nous approchons du point critique où nous allons accéder à une civilisation planétaire de Type I. Le passage du Type 0 (zéro) au Type I de civilisation ne se fera pas sans crise, sans douleur, et sans une remise en cause radicale de notre modèle actuel de société.
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